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p r e m i e r s p a s
Si vous visitez ce site et n'avez jamais pratiqué le Yoga ou la méditation, sachez que les deux sont liés. En effet, une pratique de Yoga ne se résume pas à des postures et ces dernières sont censées préparer, précisément, l'assise méditative (qui ne s'improvise pas lorsque nous restons 15, 20, 30 minutes et plus dans la même posture !).
La méditation est, en outre, un état auquel sont censées mener nos pratiques posturo-respiratoires de Hatha Yoga (ou inspirées), ainsi que cette forme de gymnastique mentale qui consiste en des exercices de concentration, que propose aussi le Hatha Yoga - avec ou sans visualisations - et qui désignent aujourd'hui la " méditation " (par métonymie).
Donc, il y aurait tout d'abord une différence à faire entre le Yoga - la méditation comme " état " (comme il y a un état de veille et un état de sommeil par exemple), en l'occurrence, un état à la fois ancré et détaché, vif et posé, recentré - ouvert, dans tous les cas, assoupli, pacifié, serein,
et
le Yoga - la méditation comme approche, avec ses techniques, visant, entre autres (et pour ce qui nous intéresse le plus aujourd'hui), l'état mentionné ci-dessus.
Notez cependant que, si tou.te.s les yogin.i pratiquent la méditation (ou seraient censé.es la pratiquer...), tou.tes les méditant.es ne pratiquent pas le Yoga : il existe en effet bien des traditions méditatives dans le monde, et les trois " grands " monothéismes ne sont pas en reste, simplement, les manières d'envisager la méditation sont différentes et ne nécessitent pas cette préparation, spécifique au Yoga, et, en particulier, au Hatha Yoga.
Ce qui va relier tout cela ?
=> la pratique du Yoga, littéralement, nous apprend à respirer.
Le corps humain étant, pour le Hatha Yoga, traversé de " souffles ", les techniques du prânâyâma (" allongement du souffle " ou " contrôle du souffle " selon l'orthographe) relevant quasiment d'une forme d'art : finesse, précision, présence... vous ne respirerez plus comme avant !
Pourquoi est-ce important, bien respirer ?
entre autres (trop nombreuses) réponses - les yogin.i avaient déjà tout compris avant l'ère chrétienne en observant combien la respiration influence le mental et inversement : nous avons donc la capacité de ralentir la course, parfois folle, il faut bien le dire, de nos pensées. C'est se donner la possibilité, si nous le désirons, de cultiver un état d'être plus calme, plus posé, détendu.
Thomas Similowski, Chef du service de Pneumologie, médecine intensive et réanimation, du groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière – Charles-Foix, à Paris, et directeur de l’Unité de recherche Neurophysiologie respiratoire expérimentale et clinique (Inserm-Sorbonne Université) en 2018 lorsqu'il écrit cet article pour la revue de vulgarisation Cerveau & Psycho :
" Comment la respiration synchronise le cerveau ", 19 septembre 2018
" La respiration et le cerveau ", dans l'émission La tête au carré, sur France Inter,
par Matthieu Vidard, le 26 septembre 2018,
avec Thomas Similowski et Sébastien Bolher, entre autres
https://www.franceinter.fr/emissions/la-tete-au-carre/la-tete-au-carre-26-septembre-2018
L'autre point fondamental de la pratique du Hatha Yoga, c'est le soin particulier que nous portons à notre colonne vertébrale. L'étirer et l'assouplir pour commencer, puis, plus largement, tout ce qui va tourner autour de cet axe qui nous " tient " droit.e.s dans notre humanité, qui lui donne sa forme si spécifique, que ce soit dans l'équilibre de la marche, ou dans l'assise, trait d'union ente Terre et ciel.
Là aussi, nous pouvons progressivement intégrer des pratiques plus subtiles, concentrations, visualisations, du coccyx aux cervicales...
En quoi prendre soin de sa colonne vertébrale, est-ce important ?
parmi toutes les réponses possibles : pour (bien) marcher, pour (bien) respirer, et, la colonne vertébrale abritant la précieuse moelle épinière, permettre la transmission fluide des messages nerveux moteurs du cerveau au reste du corps et inversement depuis nos capteurs sensitifs (situés dans les muscles, la peau...), permettre des réflexes vitaux
" Il n'y a pas que le cerveau dans la vie, il y a aussi la moelle épinière ",
TheConversation.com, 13 mai 2019
Thibaut de Saint-Maurice, " Petite philosophie du dos ",
dans l'émission Grand bien vous fasse, sur France Inter, le 25 septembre 2017
https://www.franceinter.fr/emissions/la-petite-philo/la-petite-philo-25-septembre-2017
dans " Le mal de dos, encore et toujours le mal du siècle ! "émission présentée par Ali Rebeihi, avec Emmanuelle Chaléat-Valayer, Chef de service hôpital de jour-médecine physique et de réadaptation au Centre hospitalier des Massues à Lyon et François Stévignon, Masseur-kinésithérapeute
https://www.franceinter.fr/emissions/grand-bien-vous-fasse/grand-bien-vous-fasse-25-septembre-2017
Les postures du Hatha Yoga, puis, des formes dérivées qui ont été développées dans la période moderne et contemporaine
(vinyasa, " ashtanga ", lignée Iyengar, etc.), la plupart d'entre elles dérivées du Hatha Yoga au sens où l'accent est mis sur la pratique posturo-respiratoire, qui lui est très spécifique,
ces postures visent, en premier lieu, la santé de nos articulations, de nos tissus (muscles, fascias...), de nos tendons et ligaments dans une approche respectueuse du corps (du moins pas de pratique ascétique ici et les textes du corpus traditionnel mettent en garde les pratiquant.e.s au sujet de certaines " austérités ").
Où il n'est pas question de performance donc, mais de se demander simplement, et pour commencer :
" de quoi ai-je besoin pour (re)trouver mon équilibre ? "
La pratique des postures mais aussi de certaines techniques connexes telles que des contractions musculaires douces (bandha), des respirations, une diététique également, qui privilégiera le lacto-végétarisme (même s'il n'est pas question de vous dire ce qu'il convient ou non de manger ^^, il est important de comprendre que cette dimension fait partie de la pratique mais cette dernière nous mène de toute façon à une prise de conscience affinée de ce qui est respiré, ingéré... sans devenir des ascètes pour autant : la pratique nous " travaille ", à notre insu en quelque sorte, et des goûts nouveaux vont faire leur apparition, d'autres nous quitteront sans avoir à dire " demain j'arrête "...),
=> et tout cela concourt à cultiver et ou favoriser une bonne énergie.
entre autres effets reconnus :
(trop nombreux pour tous les lister !) assouplissement et tonification du dos et des épaules, relance du péristaltisme lorsque celui-ci était un peu paresseux, donc une meilleure digestion avec atténuation de nombreux symptômes digestifs, meilleure élimination, meilleure circulation, régulation du cycle féminin (...)
Sans être une panacée, la pratique régulière du Hatha Yoga vous éloigne des médecins et praticiens de toutes sortes pour longtemps - en l'absence de comorbidités. Il n'est pas du tout question d'opposer ici médecine conventionnelle et non conventionnelle, allopathique vs traditions non occidentales, tout cela existe et c'est tant mieux, quelle richesse, quelle chance ! Mais... passer son temps dans les salles d'attente de docteurs et praticien.nes en tous genres n'enthousiasme personne. Nous témoignons simplement ici de ce que vingt ans de pratique permet. Tout en étant très conscient.e que la seule pratique ne suffira pas dans un monde où la pollution des espaces de vie, de notre nourriture, de l'air que nous respirons, et ce depuis notre naissance pour la plupart d'entre nous, nous abîme (ainsi la première puissance du monde a-t-elle vu son espérance de vie décroître, avant-même la crise de la COVID-19). A moins d'élargir la pratique, du soin de soi au soin de l'autre, sortir de sa bulle, travailler en faveur d'un bien commun, favoriser un rapport plus harmonieux au Vivant... dont nous sommes.
mieux " connaître-sentir " son corps nous permet donc une plus grande autonomie sans illusion de toute puissance pour autant, ce qui signifie, très concrètement, une plus grande liberté de mouvements tant que cela est possible, mais aussi, et plus sensiblement dans nos pratiques peut-être,
nous apprenons à accepter, aimer ce corps humain avec ses imperfections, sa beauté comme sa vulnérabilité, sa vieillesse (...) comme il sent, comme il vit
#selflove 💛
mais sans fatuité du self alors
ce qui n'est pas une mince affaire dans une société qui :
- soit nous " sépare " du corps (ce qui n'est certes pas nouveau mais accentué par le développement du secteur tertiaire et des technologies de communication...)
=> nous restons derrière des écrans d'ordinateurs toute la journée ou quasi, et dans notre tête jusqu'à dépasser nos limites. Or, un corps humain n'est pas fait pour être assis, enfermé pendant des heures tandis que nous sommes " perché.es " (pour reprendre une expression employée fréquemment par le fondateur de l'Ecole de Méditation, Fabrice Midal) dans notre cortex pré-frontal : penser, analyser, rationaliser (...), cela nous est utile... mais à force de ne faire que cela, nous forçons le trait d'une dualité factice entre corps et mental, bref, nous restons " perché.es " : nos pratiques nous aident à " atterrir "
- soit nous montre combien ce corps devrait être plus fort, plus mince, plus souple (même le Yoga devient une injonction et ce faisant, il devient surtout un simulacre), plus plus plus parce que vous le valez bien (...)
Pratiquer dans le respect de l'éthique du Yoga Sûtra (l'un des textes de référence), à commencer par la non-nuisance (ahimsâ), en lui articulant le contentement, (sam/ntosha), et, d'autre part,
considérer le corps comme le lieu possible d'une forme d'éveil
- traditions du Yoga classique et du Yoga tantrique que nous rejoignons aujourd'hui souvent à la faveur d'une ré-interprétation occidentale du Yoga,
cela favorise un jour ou l'autre un retournement du jugement sévère que nous posons si souvent sur le corps que nous " avons " ; de développer ainsi, séance après séance, une forme de gratitude à l'égard du corps que nous " sommes ".
Cette nouvelle façon de voir soulage, tout en nous permettant de progresser à notre rythme (si nous nous mettons la pression même au Yoga, où allons-nous donc pouvoir nous détendre ?).
=> Nous cheminons en direction d'un assouplissement " général " de la personne que nous sommes, et non de ses muscles seulement ou de je ne sais quelle partie, les hanches par hasard, comme si la souplesse ne tenait qu'à un endroit du corps, comme si nous n'avions pas besoin d'assouplir tout le corps, dont son mental... comme si nous étions découpé.es en morceaux - cf. les " abdo - fessiers " dans certaines salles de sport (si cette approche existe encore). Tout cela pour dire que nous nous réconcilions. Ce qui ne va pas sans conséquences sur les êtres trop " stressés " que nous sommes, sur les êtres jamais satisfaits, toujours partout donc nulle-part, dans tous les cas, loin de nous-maintenant.
=> Nous revenons dans la posture animée de souffle, où nous sommes, exactement, et nous nous y sentons de mieux en mieux, même si c'est imparfait, parce que breaking news! la perfection n'est pas de ce monde, mais nous y asseoir, nous y sentir en joie, relié.es, connecté.es à d'autres êtres vivants, nous y sentir serein.es malgré tout, avec tout ce que nous sommes maintenant, dès maintenant, est à notre portée.
Deux minutes, quelques heures, quelques jours, une fois par semaine, deux fois... peu importe ^^. Chemin faisant, nos pratiques régulières participent pleinement de ce sentiment très fort, mêlé de sensations, d'émotions et qui peut surgir au détour d'une pratique, comme en se promenant le long d'une plage ou d'un sentier escarpé, face aux glaciers, en partageant un moment totalement gratuit avec son enfant, son ami.e (...) et qui peut s'installer dans la durée, avec un goût différent certes, mais non moins assuré, de cette " confiance en la vie " qui n'a rien d'abstrait et s'expérimente, s'éprouve, notamment sur nos tapis, depuis nos mains, nos bras et nos épaules, depuis nos " tripes " et cette verticalité retrouvée, depuis nos postures d'équilibres et nos déséquilibres ^_^ depuis les possibles, nos capacités, comme nos failles, nos rebonds (...) Inspir. Expir. dans le mouvement de la vie, et jusque sur nos coussins : cette confiance, très " physique " agit sur votre mental (avant même nos exercices de visualisation et de concentration qui viendront le pacifier), c'est ce que les chercheurs en neurosciences appellent aujourd'hui la " cognition incarnée " : vos gestes influencent votre plasticité neuronale. Régénérescence par le geste... Quand des intuitions séculaires sont confirmées par l'observation de la recherche la plus contemporaine... c'est fort réjouissant, parce que les plus dubitatif/ve.s peuvent alors entendre à présent combien des pratiques psycho-corporelles comme le Yoga (dont la méditation encore une fois) peuvent agir directement sur le comportement, sur les pensées donc la manière de voir le monde, se voir, dans le monde... comprenant aussi que nous n'avions peut-être pas besoin de tous ces anxiolytiques, juste de nous poser et sentir. Vous avez dit simple comme bonjour ?
la conscience du souffle
la santé de la colonne vertébrale
et plus généralement,
prendre soin
photographie Alain Volut
différentes approches
inspirées du
Yoga
(essentiellement)
en direction
d'un assouplissement général
- de la posture
=> âsana en statique (tout en lenteur, au plus près de la sensation...),
ou dynamique (avec des enchaînements posturaux plus ou moins fluides, plus ou moins rapides, accessibles au plus grand nombre dans la plupart des propositions du Studiolo) :
étirements, assouplissements, tonification des muscles profonds - renforcement musculaire par un travail de gainage, contractions excentriques, travail sur la statique, l'équilibre, favorisant la proprioception (...)
sources - traditions - formations
Hatha yoga - Yoga de " Madras " (Ecole Française de Yoga, Isabelle Morin-Larbey entre autres) ; lignée " Dürckheim " (Ecole Française de Yoga, Annemarie Hebeisen, Sylvie Massart et Pascale Brun entre autres, Centre Dürckheim, Jacques Castermane) ; " Yoga détente " , Yoga Vinyasa (Gérard Arnaud, Fédération Française de Yoga) ; méthode de Gasquet avec applications prénatales et postnatales (Institut de Gasquet), " Yin " Yoga (Cécile Roubaud entre autres), Recherche sur le Yoga dans l'Education (RYE) ; Ecole de méditation (Fabrice Midal entre autres) + des lectures + des pratiques + des rencontres... dont, vous (^__^) !
- de la respiration
=> synchronisée avec la posture, ou en assise à même le sol ou sur un coussin, une cale, une chaise...
- dans le cadre des pratiques de " nettoyages " (kriyâ) doux et adaptés
- dans le cadre d'exercices spécifiques dits de prânâyâma visant à dynamiser, rééquilibrer l'énergie ou calmer
NB la sophrologie ou la pratique de " cohérence cardiaque " se sont directement ou indirectement inspirées de ces pratiques
=> dans le cadre d'une approche de la méditation, travail de concentration sur le souffle, " pleine attention " aux mouvements respiratoires (voir plus bas)...
=> ou dans l'intention de détendre, relaxer...(voir ci-dessous)
sources - traditions - formations
les mêmes que pour l'approche posturale (voir ci-dessus)
- avec détente et relaxation
=> allongé.e au sol à plat-dos, avec ou sans supports (couverture, coussins...)
sources - traditions - formations
Anita J. utilise différentes techniques, dont la série des " Grandes respirations " de la lignée de " Nil Hahoutoff " dont elle a suivi plusieurs cours et ateliers à l'Ecole Française de Yoga notamment (Patrick Tomatis entre autres enseignant.es), " Yoga de l'énergie " (ateliers et stage FNEY auprès de Boris Tatzky) ; Yoga nidrâ ; elle s'inspire aussi d'approches de la relaxation bien connues, et reconnues, développées par les médecins Edmund Jacobson (" relaxation musculaire progressive ") et Johannes Heinrich Schultz (Training autogène), entre autres
- du mental : concentration avec ou sans visualisations
vers la méditation
=> assis.e à même le sol ou bien sur un coussin, une cale, une chaise, avec le support d'un mur ou d'un dossier (selon l'état de forme, des épaules, du dos...)
=> parfois allongé.e (en cas de grosse fatigue mais pas seulement)
=> parfois dans le mouvement d'une marche méditative ou d'un karana (enchaînement postural)
=> " nettoyages " (kriyâ) et concentrations (dhâranâ) proposés notamment dans la Hatha Yoga pradîpikâ
=> méditations : " pleine présence " ou " présence attentive " (mindfulness) ; Bienveillance et compassion...
sources - traditions - formations :
les mêmes que pour l'approche posturale
en particulier pour la méditation : du Yoga (Yoga sûtra) ; du Bouddhisme Zen, tibétain aussi, même si tout cela s'articule dans un cadre laïc, avec une dominante Ecole de méditation où Anita J. s'est formée (approche laïque aussi - d'inspiration bouddhiste)
- de la conversation, dans un partage d'expériences, une amicale :
=> le Studiolo est une petite communauté de yogin.i parisien.nes (surtout) qui partagent joyeusement le goût du Yoga et de son éthique dont les grands traits sont communs du reste à bien des religions, spiritualités, philosophies... chaque visage est accueilli dans sa singularité tandis que nous cultivons l'écoute et nous relions à ce qui nous anime : un désir partagé de pacifier, détendre, dénouer, nous ouvrir
- de l'étude : vous pouvez emprunter des ouvrages dans la bibliothèque du Studiolo, dans tous les cas, Anita J. saura vous guider et vous conseiller des lectures répondant à votre recherche, qu'elle se porte davantage sur la dimension posturale du Yoga, ou, spirituelle-philosophique...
tellement de choses... mais si vous êtes ici, c'est que sans doute des proches, des ami.es, ou des moins proches, parmi les millions de pratiquant.es dans le monde et en France, vous ont déjà, ou presque, convaincu.e du bien fondé de ces pratiques
=> il n'y a qu'un pas
pour un cours d'essai
(20 euros)
les articles suivant en mentionnent d'autres...
Carolyn Gregoire,
" Bienfaits du yoga sur le corps : comment cette discipline transforme le corps dès le premier jour ", Huffington Post,
5 octobre 2016 (dernière actualisation)
Cécile Chaumard,
" Méditation et santé : trois bienfaits de la méditation sur le corps ",
11 mai 2020, site Internet de la Faculté de médecine de Montpellier, https://facmedecine.umontpellier.fr/
les bienfaits
oui, encore eux (^_^)
photographie Alain Volut
n o u v e a u / - e l l e m e m b r e
=> merci de toujours demander à Anita J. la confirmation de votre inscription à un (ou plusieurs) cours (si c'est un abonnement mensuel, voire, trimestriel) avant de vous rendre sur place à la (première) séance ou de participer en visio.
=> les séances commencent à l'heure indiquée sur la liste des cours
donc prévoir votre arrivée cinq à dix minutes avant (ni plus ni moins car les séances parfois se suivent)
=> lire les conditions générales ici : toute inscription à un cours suppose tacitement que vous êtes en accord avec les conditions
photographie Alain Volut