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j’ai fait une petite recherche en navigation privée sur Google en juillet 2024, et je referai cet exercice de temps en temps, qui me permet de mieux comprendre vos attentes. L’objet de ma recherche était : « cours de yoga 15e ». Apparaissaient alors les questions suivantes, que je numéroterai dans leur ordre d’apparition :

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1. Quel tarif pour un cours de yoga ?

···> nous rajoutons : quel tarif pour un cours de méditation ?

2. Quel est le meilleur yoga pour commencer ?

3. Quel yoga à 50 ans ?

···> nous rajoutons ici : quel yoga à 20, 30, 40, 60, 70 ans, 80 ans et plus ?

4. Comment bien débuter le yoga ?

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nous complèterons bientôt, avec la méditation notamment

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1. Quel tarif pour un cours de yoga ?

···> nous rajoutons : quel tarif pour un cours de méditation ?

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 vous trouverez une fourchette vraiment très variable de tarifs à Paris pour un cours collectif de yoga ou un cours collectif de méditation :

 

• une dizaine d’euros, voire moins (abonnement à l’année souvent + frais d’inscription de l’association), dans certains cadres associatifs, dans les locaux mis à disposition par la ville de Paris notamment. C’est le plus intéressant pour les petits budgets, et il y a d’excellents enseignant·es. Il faut se couvrir car les gymnases, écoles (…) ne sont pas toujours bien chauffés en soirée et en hiver, accepter d’être parfois 40 pour un·e enseignant·e qui, même avec la meilleure volonté du monde, n’est pas Shiva… donc peu conseillé pour les débutant·es ou les personnes qui souhaitent un accompagnement précis ;

• puis, viennent les abonnements en clubs privés, pour les low costs, il faut consentir bien souvent à être très nombreux/-ses car ce sont des cours très demandés ; voire, régler un supplément sur le prix bas, initial, de l’abonnement… Il arrive souvent, dans ce contexte, que l’enseignant·e soit jeune et pas encore très aguerrie (pour accepter une rémunération vraiment très faible dans ces contextes : c’est aussi une question) ;

• vous trouverez des séances de yoga, méditation, grosso modo, entre 20 et 30 euros à l’unité dans des centres spécialisés, « studios » à Paris : le coût dépend du cadre (êtes-vous 20 dans un petit espace, le lieu est-il confortable, propre, agréable…) et de la durée (est-ce du « top chrono 60’ puis au suivant ! » ou avez-vous le temps de pratiquer, échanger avec l’enseignant·e ?), mais aussi de la rareté et ou de la spécificité, originalité de la prestation, de l’expérience de l’enseignant·e (ses formations ont un coût pour être « à la page » et vous proposer des cours riches de sens et adaptés)… ;

• sur les mêmes critères que ci-dessus, votre séance de yoga, méditation, peut revenir à moins de 20 euros jusqu’à 25, 26 euros plus ou moins, dans le cadre d’un forfait, abonnement… ;

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···> au Studiolo à Paris 15e, nous vous proposons un cadre privilégié de pratique : des cours semi-particuliers de yoga, méditation, où vous êtes 3 à 4 élèves (max.), au tarif des cours collectifs en ville où vous étiez 10 voire bien plus : 25 euros en présence au forfait ; 30 euros à l’unité.

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• un cours collectif en ligne (visio.) peut valoir le même prix qu’une séance en présence (exactement comme un psy. ou votre médecin traitant ne réduirait pas le coût d’une consultation en ligne), entre 10 et 25 euros +- ;

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···> au Studiolo nous avons fait le choix de vous proposer un suivi précis pour les cours de méditation & respiration (Les Gestes simples ©) du mercredi soir en ligne (20 euros) sur Zoom ; et de conserver la possibilité de rejoindre les autres cours en visio. uniquement lorsque vous êtes en déplacement ou fatigué·e (le tarif demeurant dans ce cas le même qu’en présence), votre enseignante le propose aux élèves qu’elle accompagne en présence.

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• le moins onéreux, reste aussi l’abonnement à une chaîne spécialisée en ligne comme par exemple https://www.yay-tv.com/ (un studio de confiance, avec lequel votre enseignante collabore par ailleurs lien) 15 euros par mois +-, avec des séances préenregistrées (donc vous n’êtes pas du tout accompagné·e dans votre pratique)

• ou, pour 20 à 30 euros par mois +-, de nombreux contextes de pratiques, visio. et in situ, avec l’association RESO https://reso.co/ pour la méditation, dont votre enseignante est membre amie ^^

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• quant aux cours particuliers de yoga, de méditation, cela dépend, là aussi, de plusieurs critères, et, notamment, votre enseignant·e se déplace-t-il-elle, ou pas ? Très souvent les centres spécialisés (studios) proposent un tarif allant de 80 à une centaine d’euros à Paris, afin de pouvoir rémunérer le Studio et l’enseignant·e. Et puis il y a du grand n’importe quoi, genre « plus c’est cher mieux c’est » (vieille rhétorique mercantile dont les coaches en « croissance » abusent aujourd’hui sur les réseaux sociaux, ne vous faites pas avoir), donc votre mentor (oups. Gourou ès développement personnel) pourra vous proposer des séances à 150 euros (…), car tout existe en la matière !

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···> au Studiolo à Paris 15e, nous proposons un tarif, grosso modo aligné sur une moyenne parisienne qui nous semble honnête : le cours particulier coûte 75 euros hors-les-murs (donc chez vous ou au travail dans l’Ouest parisien : 15e, 16e, 7e, 6e, 14e surtout, proche du Studiolo donc) ;

 70 euros sur place ; 60 euros à partir de deux séances par mois.

Vous pratiquez seul·e, ou en duo.

 

 

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2. Quel est le meilleur yoga pour commencer ?

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 Il n’y en a pas, comme ça c’est clair ^^

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 Au sens où, si vous souhaitez commencer la pratique du yoga, le plus important est encore de choisir un cadre approprié, et de prendre le temps de choisir (tester 1, 2, 3 cours...)

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···> au Studiolo nous vous proposons un réel temps d’échange pour vos cours de yoga à Paris, et, tout particulièrement, avant et après votre séance d’essai, afin de vous conseiller le plus finement, en fonction de notre observation aussi bien que de vos attentes, quitte, parfois, à vous proposer de suivre un autre cours, ailleurs !

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 Ce n’est pas la lignée ou le « style » de yoga qui compte, c’est la manière dont la pratique du yoga est enseignée :

 

Posez-vous les questions suivantes :

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• est-ce que je me sens bien dans l’espace de pratique (ni trop chauffé, ni froid, ni poussiéreux, ni confiné, ni bruyant, etc.) ?

• est-ce que je me sens accueilli·e, au moins par l’enseignant·e, voire, par l’atmosphère qui se dégage en quelque sorte de la réunion des personnes en présence : est-ce convivial, chaleureux, glacial, impressionnant (…) ?

• l’enseignant·e a-t-elle-il la possibilité et la capacité de suivre l’ensemble du groupe ?

• l’enseignant·e se rend-elle-il disponible pour répondre à mes questions après la séance ou, si deux séances se suivent, propose-t-elle-il un temps d’échange à un autre moment, par ailleurs ?

• est-ce que je me sens accompagné·e ou, au contraire, mis·e en danger, est-ce que je sens que je peux faire confiance à cet·te enseignant·e ou une petite voix trigger warning s’élève quelque part (l’écouter est important !) ?

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 Ceci-dit : dans le cadre d’un cours collectif où vous seriez nombreux-ses (studios, clubs de sports, associations…), nous vous conseillons de commencer par une pratique lente, afin de vous familiariser progressivement avec les postures (du moins, cette remarque s’entend-elle encore pour un yoga postural, qui pourra par ailleurs, très souvent, et traditionnellement, être la porte d’entrée à un yoga plus méditatif, et ou, porté sur d’autres pratiques énergétiques, kriyā), et les pratiques respiratoires type prānāyāma ainsi que certaines techniques de contractions musculaires bandha qui vous seront nécessaires en yoga dynamique afin de ne pas vous abîmer : le hatha yoga nous semble être une base, la plupart du temps aujourd’hui, même si interprété de 1001 façons… et ce, même avant de continuer dans la lenteur en « yin yoga » ou « yoga restauratif ».

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 Parmi des lignées et styles connexes : viniyoga ou « yoga de Madras » ; Geste méditatif  - Mindful yoga ; « yoga intégral » ; « yoga de l’énergie » ; lignée Hahoutoff ; lignée Shri Mahesh ; méthode de Gasquet (…)

 

 Fortement déconseillés pour commencer (surtout dans un cadre collectif où l’enseignant·e aurait 10 élèves devant lui ou elle, voire plus, et ou ne se déplacerait pas ou peu dans l’espace mais montrerait uniquement les postures) : vinyasa yoga (mais cette remarque vaut surtout pour des personnes qui n'auraient pas ou peu de pratiques physiques et sportives par ailleurs ou s'y mettraient après 35 ans +-) ;  power vinyasa

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···> au Studiolo à Paris 15e, même nos cours de yoga dynamique sont relativement doux, au sens où le flow est down tempo, ponctué de pics d’intensités variables et la pratique posturale, toujours adaptée : notre hatha flow est donc la séance parfaite si vous souhaitez pratiquer posture et enchaînements posturaux sur un mode tonique mais en conscience et dans le souffle, pas un yoga-fitness, considérant qu’une bonne séance de Crossfit ou de gymnastique artistique, Mouvement (…) répondra parfaitement, par ailleurs, en complément, au désir de dépassement physique qui vous anime (si c’est votre cas) puisque pratiquer uniquement dans cet état d’esprit vous couperait selon nous de ce que le yoga a de plus précieux à vous apporter : une forme – oui c’est galvaudé mais vous comprendrez – de lâcher-prise.

 

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3. Quel yoga à 50 ans ?​​​

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···> nous rajoutons :

quel yoga à 20 ans,

quel yoga à 30 ans,

quel yoga à 40 ans,

 quel yoga à 60 ans,

quel yoga à 70 ans,

80 ans et plus ?

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 Cela dépend ^^.

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···> de votre « âge biologique » notamment :

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 « L’âge physiologique ou âge fonctionnel ou âge biologique reflète l’état physiologique ou fonctionnel exact de l’individu. Cet âge physiologique peut d’ailleurs correspondre à l’âge chronologique de la personne. Mais il est habituel de rencontrer des gens qui ne font pas du tout leur âge. Ils font soit plus jeune, soit plus vieux, et parfois même beaucoup plus vieux que leur âge. Il apparaît que ces gens sont effectivement physiologiquement plus âgés que ne le voudrait leur âge chronologique. » De Jaeger, Christophe. « Principe de l'âge physiologique »,

Christophe De Jaeger (sous la dir. de), Les techniques de lutte contre le vieillissement. Presses Universitaires de France, 2012, p. 33-38.

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- En d’autres termes, votre état de forme entre 20 et 40 ans peut être sensiblement le même et vous pourriez alors aimer pratiquer un yoga dynamique tel que l’ « ashtanga vinyasa yoga », un hatha flow…, que vous ayez ou non une activité physique par ailleurs en plus et ou en complément (par exemple, une activité impliquant l’augmentation de votre fréquence cardiaque telle que la course à pieds par exemple, la natation est également un excellent complément)

NB En Inde, traditionnellement, les pratiques posturales dynamiques ont été destinées à des hommes, et, plutôt jeunes. Les enfants bénéficieront également de ces pratiques toniques et structurantes (en évitant trop d’intensité, comme toujours, pour préserver le bon déroulement de leur croissance).

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 Les différentes charges qu’un adulte pourra rencontrer dans sa vie, et plus particulièrement la charge mentale des femmes, et encore plus, peut-être, celle des mères (multitâches ou… multi-charges…), mais aussi celle des pères de famille, des étudiant·es qui travaillent parallèlement à leurs études, toute cette charge que ces différents publics, de 20 à 50 ans, auront à porter à plusieurs moments de la vie, aura pour effet d’épuiser beaucoup d’entre elles-eux, et ce, d’autant plus dans un contexte où certains cadres de travail sont devenus toxiques. Dans tous ces cas, que vous ayez 20, 30, 40 ou 50 ans ne change pas grand-chose, et la pratique de yoga peut constituer une soupape tout autant qu’un ressourcement : les pratiques les plus intéressantes pour cela, restent en premier lieu le hatha yoga (même si, comme précisé précédemment, il y a 1001 façons de le pratiquer… voir plus haut ce que nous en disons), et, pour des personnes qui pratiqueraient des sports en intensité, un yin yoga pourra les amener à s’étirer et méditer (pleine présence ou « pleine conscience ») dans des postures pour la plupart tenues au sol sur un temps long. Dans tous les cas, un mindful yoga. Une pratique de méditation assise incluant ou non l’approche de techniques respiratoires, le yoga nidrā aussi, pratiqué allongé au sol et incluant relaxation et visualisations, seront particulièrement utiles, au-delà de leur intérêt intrinsèque (autrement dit, d’une part d’inutilité, aussi, c’est important), aux plus stressé·es.

Plus le yoga sera votre lieu soupape-ressources, plus nous vous conseillons de préserver pendant cette longue période, en tenant toujours compte de votre état de forme, qui ne sera pas le même à 20 ou 50 ans, une voire des pratiques physiques en intensité, par ailleurs, incluant, cela est important, une pratique « cardio », et, si vous avez choisi un yoga très lent, très détendant, conserver une pratique de renforcement musculaire en sus.

 

 Dans tous les cas, si vous avez peu de temps, la combinaison peut ressembler à : je marche en allant au travail, à la fac (…) tous les jours + une pratique de yoga hebdo. + une à trois pratiques de renforcement musculaire hebdo. Ou : je marche un peu (ou fais du vélo pour me déplacer) + une pratique de yoga hebdo. + une pratique cardio. hebdo. ; et renfo. si pas ou peu de gainage dans le yoga que j’ai choisi de pratiquer (…)

 

···> au Studiolo à Paris 15e, vous trouverez un choix de pratiques adaptées aux différents âges de la vie. Nous considérons aussi que le plus précieux, actuellement, dans une pratique de yoga, c’est la possibilité de rencontrer son corps, de le mouvoir, l’étirer, le gainer (…) SANS souci de performance, simplement dans la pleine attention (ou « pleine conscience ») de ce qu’il sent et peut, de ce qu’il respire : c’est ce qui est très apaisant et dans le même temps, ce qui nous redonne confiance. D’où notre choix de centrer la proposition de notre Studiolo parisien, autour de cette manière d’envisager la pratique, de revenir à certains de ses fondamentaux : passs : présence, assise, souffle, souplesse (une souplesse globale : corps-esprit, pour dire les choses rapidement), simplicité.

 

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- La périnatalité (et dans son champ, la postnatalité) sera le moment idéal pour affiner ou découvrir son yoga (au-delà des « yoga prénatal » ; « yoga postnatal » que vous pratiquerez), à maints égards, tant les métamorphoses rapides du corps nécessiteront une considération affinée de celui-ci, incluant la sensation de la vie à naître, en soi, et, le temps de la rencontre, dans un autre corps, un nouvel état d’esprit : une petite révolution nécessitant un accompagnement psycho-physique, tel que la pratique du yoga est à même d’en proposer : apaisement et accueil, les deux mots que nous pourrions retenir pour cette période, et de ce que peut la pratique du yoga, alors.

 

- À partir de 40-45-50 ans (avec les réserves de l’âge « biologique » précisées plus haut), nous pouvons sentir un réel besoin, physique et mental, de, progressivement, ralentir, ce qui est tout à fait naturel, tandis que la ménopause pourra épuiser physiquement et moralement de nombreuses femmes autour de la cinquantaine : un yoga équilibré sera alors conseillé, le hatha yoga restant la référence ici (de nouveau, se reporter à ce que nous précisons plus haut, à savoir, la variabilité de ses interprétations), et, pour les plus fatigué·es, un « yin yoga », qui ce dernier pourra être « restauratif » (réparateur sans l’anglicisme...), ou non.

 

···> nous déconseillons dans ce contexte (mais aussi dans d’autres) de réduire la pratique physique à un yoga postural très doux. Si c’est une forme posturale lente, ou une forme non posturale (méditation, respiration, nidrā…), il reste fondamental cependant de se mouvoir par ailleurs et tous les jours (une heure de marche serait l’idéal, une demi-heure au minimum si vous êtes pris·e en « sandwich » entre vos responsabilités domestiques, familiales, enfants, parents, au travail, etc.) ET se renforcer régulièrement là encore (que ce soit dans la pratique du hatha yoga et ou d’une activité engageant un renforcement musculaire par ailleurs, une à deux fois par semaine).

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- 50, 60, 70 : nous nous acheminons lentement mais sûrement vers une pratique de plus en plus douce, qui s’affine. Traditionnellement, le yoga devrait, autour de notre hiver, nous mener à affiner la conscience du souffle tandis que la retraite est LE temps de la méditation. Les étirements doux et assouplissements, tonification des muscles profonds du hatha yoga sont plus que jamais, toujours conseillés, avec des adaptations que votre enseignant·e vous proposera et qu’il s’agira de suivre, si vous le sentez bien sûr, et, si vous lui accordez votre confiance. Le travail de l’équilibre reste fondamental pour cultiver sa proprioception et rester le plus longtemps autonome dans ses déplacements…

 Également : Yin yoga, « restauratif » ou non…

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- 70, 80, 90… : entre deux personnes de 70 ans, c’est un peu comme entre un petit garçon de 11 ans et sa congénère, pré-ado du même âge : deux planètes différentes ! Alors, une fois de plus, c’est à vous de sentir ce qui vous convient le mieux. Les mouvements articulaires doux permettent à l’arthrose de ne pas trop se développer et même, de prévenir les crises, tandis que, plus nous avançons, plus la pratique du yoga va se concentrer sur les techniques respiratoires, et deviendra de plus en plus méditative… ce qui, une fois de plus, ne devrait (bien au contraire, il la favorise) exclure la marche, et ce, le plus longtemps possible, le hatha yoga pouvant très bien répondre, en totalité ou partiellement, à la nécessité de renforcement musculaire entre 70 et 80 (+- donc).

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4. Comment bien débuter le yoga ?

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···> nous renvoyons à notre réponse à la question 2. :

Quel est le meilleur yoga pour commencer ?

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 Une seule réponse ne sera pas satisfaisante ici.

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···> ne pas avoir trop d'attentes (mais conserver son esprit critique aussi est important) ; être suffisamment curieux-se ; sentir, sentir, sentir ; surtout, consentir à faire confiance au présent, au moins pour une ou deux heures (...)

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 Dans tous les cas, dans le contexte d’un yoga « international », disons (c’est-à-dire, en dehors des yogas de la tradition indienne au sens strict tels que le « yoga de la connaissance », jñana yoga, ou le yoga de la dévotion, bhakti yoga… mais les choses ne sont jamais aussi tranchées en la matière « yoga »),

donc, pour ce qui nous/vous intéresse, dans le contexte d’une recherche mêlant pratique posturale, conscience du souffle, sens de présence et de détente mêlées, nous conseillons vivement un hatha yoga pour débuter, qui répondra au plus grand nombre aux attentes s’assouplissement corps-esprit (pour résumer…) Mais il convient de revenir quelques lignes plus haut car les interprétations du hatha yoga sont très nombreuses. Un hatha yoga équilibré mêlant les différents aspects que nous venons d’évoquer, à l’attention d’un·e enseignant·e bienveillant·e (au sens strict : qui veille bien sur vous, vous propose adaptations, ajustements, intensifications…) et qui ne réduit jamais cette pratique à sa dimension gymnique.

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···> c’est pour cette raison, sa place centrale disons, que le hatha yoga est la base des enseignements au Studiolo à Paris 15e arr., parmi d’autres propositions posturales, qui lui sont toutes liées, d’une manière ou d'une autre.

 

 Pratiques connexes, noms rencontrés (parmi d’autres), et sans oublier que la plupart des yogas pratiqués aujourd’hui, dès lors qu’ils sont posturaux, sont directement ou indirectement des Hatha yoga (la lecture de Mark Singleton, Aux origines du yoga moderne s’impose ici pour comprendre à quel point le « hatha yoga » que nous pratiquons est aussi une sorte d’homonyme du (ou des) Haṭhayoga médiéval) :

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Viniyoga ou (proche) « yoga de Madras » ou « vinyasa krama »

··· > l’une des spécialisations au Studiolo ^^

et

Hatha intégral ; Sivananda ; « yoga de l’énergie » ; lignée Nil Hahoutoff ; lignée de Shri Mahesh ; méthode de Gasquet ; entre autres…

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